Push To Talk encadre de A à Z le débat de Prebes sur la prévention
01 octobre 2020Un des moments clés de Prenne 55, la première édition numérique du salon trimestriel de Prebes, était un débat sur le rôle des conseillers en prévention pendant et après le corona. Push To Talk a préparé et encadré cet événement en ligne de A à Z, au niveau pratique mais surtout au niveau contenu.
Le débat sur la prévention a été préparé de manière journalistique par l’équipe de Push To Talk. Tom Bellens : “Tout a commencé par une réunion de rédaction, afin de déterminer la portée du débat. Quel est l’objectif ? Qui est le groupe cible ? Quels sont les points de vue ? Nous avons pris comme point de départ le rôle du conseiller en prévention et comment il a dû s’adapter pendant la période du Covid. Ensuite, nous avons réfléchi à qui sont les acteurs et qui pourrait porter ce débat. Le panel était composé d’Erika Vlieghe, Kris De Meester, Lode Godderis, Karine Moykens et Dominic Hermans.“
Travail de rédaction
La préparation d'un tel débat demande toujours un important travail de rédaction. “Nous faisons des recherches sur leur parcours, leurs connaissances, leur expérience et nous examinons les positions et opinions que les membres de notre panel ont récemment adoptées. Sur base de cela, nous développons pour chaque participant un fil conducteur, que nous essayons ensuite de regrouper. Nous arrivons ainsi à une liste de questions potentielles, laissant tout de même assez de place pour anticiper les réponses possibles.”
Encadrement étendu
Le journaliste et visage bien connu de la VRT Wim De Vilder a été choisi pour mener le débat. Un choix murement réfléchi. “Nous travaillons généralement avec des journalistes comme modérateurs, car ils se basent sur des faits et ont une capacité d’analyse qui permet de jeter un pont entre différents thèmes. Durant la préparation du débat, nous avons rencontré Wim à plusieurs reprises. Par la suite, cela lui a permis de s’approprier notre travail préparatoire et notre scénario, et de mener le débat avec efficacité. Nous préparons toujours un scénario détaillé, laissant toutefois suffisamment de latitude pour de véritables échanges. En définitive, la préparation et l’encadrement sont assez semblables à une émission télévisée, à la différence que tout est vrai et se fait en direct, sans interventions mémorisées. ”
Pas une fin en soi
Toute cette préparation a donné un scénario très complet et détaillé. “On y trouve aussi des indications de régie pour les cameramen et l’équipe technique. On peut ainsi mieux évaluer qui va réagir à une question précise et donc prévoir un angle de caméra particulier. Nous intégrons le contenu dès le départ - jusqu’à la création de vidéos et de matériel graphique - et nous encadrons tout, des répétitions à l’événement lui-même. Pendant le débat, nous écoutons activement et nous recherchons de nouveaux angles d’approche. Ensuite, nous menons aussi des interviews approfondies, qui laissent voir que durant ce genre de débat, un grand nombre de nouveaux points de vue font généralement surface.
Un tel événement est donc rarement une fin en soi, mais plutôt le point de départ d’une nouvelle conversation”, conclut Tom Bellens.
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